Un anime qui s'est fait attendre
L'adaption animée de Jojo's Bizarre Adventure remonte à l'année 1993 et fut concrétisée par une série de 13 OAV confiée au studio A.P.P.P.
Ledit projet d'animation retraçant la troisième partie du manga est d'une médiocrité navrante malgré l'implication d'un studio d'animation jouissant de confortables moyens financiers.
Pour des raisons qui demeurent obscures, les sept derniers OAV ne sortirent qu'en 2000.
Rien de ce qui caractérise l'oeuvre originale n'innerve la pellicule, le charisme des personnages est resté à l'état papier et les seiyū (NDA : acteurs spécialisés dans le doublage) ont autant de crédibilité que ne pouvaient en avoir les doubleurs français de Hokuto no Ken.
Le bât blesse : Dio Brando peine à convaincre tant il incarne davantage le bouffon d’un monarque que le redouté et ennemi juré de la famille Joestar.
Pour l'anecdote, je me souviens avoir préférer la location à l’achat des DVD au Tsutaya (NDA : chaîne de magasins japonaise) du coin pour me forger un avis à moindre frais et sans regret. Ce fut une sage décision puisqu'en plus de ça, chaque DVD ne contient qu'un épisode 🙄
Toutefois, si vous vous sentez l'envie de vous faire votre propre opinion, sachez que la série intégrale, parue en France dans un coffret édité par Délic-Images, est désormais très accessible.
Le studio A.P.P.P subira un nouvel échec cuisant lors de la diffusion avant-première du film d'animation Jojo's Bizarre Adventure : Phantom Blood pour fêter les 25 ans de carrière de Hirohiko Araki.
La date fatidique du 7 Février 2007 scellera à jamais le destin du film assailli par la critique malgré une notable performance technique.
Les spectateurs fustigeaient les rares apparitions ou l'absence de certains personnages ayant un rôle majeur dans le scénario tandis que d'autres pointaient du doigt le manque d'explications sur le concept du hamon.
Face à ce verdict sans appel, le film fut purement et simplement annulé.
Fort heureusement, il existe encore quelques fragments de cette relique du passé, notamment une séquence de 16 minutes sauvée par un spectateur ou une compilation de trailers dans le DVD offert pour toute pré-commande du jeu sorti sur Playstation 2.
Il aura fallu attendre l'année 2012 pour que le studio d'animation David Productions relève le défi de concevoir un animé enfin digne du manga.
L'animé est diffusé sur la chaîne Tokyo MX chaque Samedi à 12h30 et, avec plus de logique que ce qui a pu s'observer en France, le bal est ouvert par l'arc Phantom Blood décliné en 9 épisodes.
Le travail est impressionnant, aucun détail ne manque à l'appel, et la Araki's touch est omniprésente.
Une habile utilisation de couleurs négatives insuffle aux scènes une dimension artistique conforme à celle de l'auteur.
Les génériques et thèmes associés s'écoutent sans modération et défilent avec une fluidité surprenante.
Mention spéciale pour l'excellent Roundabout du groupe britannique Yes en guise de générique de fin.
Suite à l'accueil très positif de Phantom Blood, la série fut prolongée par la diffusion de 17 épisodes de l'arc Battle Tendency jusqu'en Avril 2013.
La prouesse séduit à nouveau, les fans sont conquis et réclament une nouvelle adaptation de Stardust Crusaders.
Le rêve a nécessité un an pour se concrétiser, année durant laquelle les fans ont du prendre leur mal en patience et supporter les nombreuses sessions de teasing de Lucky Land Communications, le studio artistique fondé par l'auteur. On est jamais mieux servis que par soi-même :D.
L'attente était à la hauteur du supplice enduré entre temps : Stardust Crusaders est une réussite en tout points.
Le millésime de l'année 2014 surpasse de loin le navet de 1993 qui avait les allures d'une parodie (Bugs Bunny Polnareff !).
Le chara-design est parfait, les personnages retrouvent une seconde jeunesse et un faciès honorant les dessins d'Hirohiko Araki.
L'excellent thème d'ouverture Stand Proud s'accompagne d'images de synthèse très réussies et comme le veux la coutume, on finit avec un générique de fin se distinguant des productions concurrentes par la ré-interprétation du tube Walk Like an Egyptian du groupe Bangles.
En attendant la suite programmée pour Janvier 2015, des coffrets DVD d'une durée d'environ 95 minutes (soit 4 épisodes) sont d'ores et déjà disponible à la vente.
Les aficionados JoJo seront ravis d'apprendre que chaque coffret dispose d'une édition limitée renfermant divers goodies tel qu'une bande-son, un tapis de souris, des écouteurs ou encore une clé USB à l'effigie de Santana.
Mais où l'auteur va-t-il donc chercher son inspiration ?
Comme le laisse supposer son oeuvre, Hirohiko Araki a tendance à piocher de nombreux éléments à partir de son vécu alimenté par le cinéma, les voyages, la musique, plus généralement l'art.
Partant, chaque arc a pour socle un thème cinématographique bien précis.
Par exemple Phantom Blood avec ses vampires, ses zombies et ses ruelles sombres britanniques fera écho à un bon vieux film d'horreur là où Stone Ocean pourrait faire un captivant film sur le thème carcéral.
Sur chacune de ces bases est planté un ou plusieurs décors sur fond de pays et cultures diverses et variées.
La recette est efficace : on est dépaysé au gré de la lecture du manga.
Musicalement, Araki a précisé au cours d'une interview avoir une préférence pour les groupes de musique occidentaux.
Les noms des personnages comme Zeppeli (Led Zeppelin) ou Speedwagon (REO Speedwagon) suscitent un petit blind-test qui perdurera tout le long de la série, révélant par la même occasion l'attraction de l'auteur pour le genre Pop/Rock.
Battle Tendency octroie une identité très évocatrice aux hommes piliers : Santana (Carlos Santana), Wamuu (Wham !), Esidisi (ACDC) et Kars (The Kars).
Dans Stardust Crusaders, Jean-Pierre Polnareff (référence à notre chanteur exilé) et Iggy (Iggi Pop) feront front face à Dio avant que les allusions aux groupes de musique et à leurs répertoires respectifs ne deviennent plus explicites.
La deuxième partie de ce show musical est assurée avec les stands de Golden Wind se référant tantôt à des groupes britanniques parmi lesquels les Sex Pistols, les Spice Girls, Oasis ou les Beatles représentés par le stand White Album (l'un des albums les plus populaires du quatuor), tantôt à des groupes californiens avec Green Day et les Beach Boys.
Le nom des stands officiant dans les parties suivantes suivront le même principe, cela dit avec quelques exceptions (l'angoissant Tubular Bells issue de la bande-son du film l'Exorciste) ou des noms associés à des groupes plus contemporains (Limp Bizkit ou Hey Ya ! du groupe OutKast)
.
Avec un verni artistique aussi riche, il était évident que l'auteur puise la majeure partie de son inspiration dans la peinture mais également dans la photographie.
Certaines poses ou tenues vestimentaires sont directement calquées sur leurs travaux pour être intégrés à l'univers de JoJo's Bizarre Adventure.
D'autres oeuvres plus conceptuelles ont aussi influencé l'auteur :
La scène illustrant le corps d'un traître de la Passionne, tranché de la tête aux pieds par le boss en guise de châtiment, fait référence à l'artiste Damien Hirst et son procédé de "cristallisation" des corps organiques dans du formole.
Ainsi que je l'exprimais dans la première partie du dossier, les centres d'intérêt très hétéroclites de l'auteur sont au sources de sa singularité.
Ces sources intarissables dans lesquels Hirohiko Araki prospecte lui permettent d'envelopper l'univers JoJo's Bizarre Adventure d'une couche artistique sans limites.
Les mauvaises langues se contenteront de dire qu'il ne fait que plagier vulgairement.
Etrangement, si Araki n'a jamais nié avoir pioché ça et là pour les besoins de son oeuvre, il est en revanche toujours réticent lorsqu'il s'agit d'évoquer son confrère Kazuo Umezu.
Derrière ce nom se cache un pionnier, si ce n'est l'inventeur du courant horrifique du manga, dont on retrouve la trace des oeuvres dans JoJo.
Qu'Hirohiko Araki l'admette ou non est une autre histoire.
Toujours est-il que la page illustrant la langue de Kakyoïn ressemble à s'y méprendre à une scène du manga l'Ecole Emportée.
De la même manière, la cauchemar dans lequel celui-ci assiste à une éventration faisant alors apparaître un mégaphone avait d'ores et déjà été utilisé dans l'une des innombrables planches de Kazuo Umezu.
Alors simple coïncidence ?
Le mystère plane toujours...
JoJo est partout !
A de nombreuses reprises, Hirohiko Araki a manifesté son respect pour ses ainés à travers son manga ou ses propos.
Aujourd'hui les tendance s'inversent, l'apprenti a dépassé le(s) maître(s), et c'est désormais lui qui récolte les lauriers.
Pour commencer en rythme, sachez qu'il existe une communauté de fans qui organise des flashmobs de JoJo poses en plein centre-ville.
La série est complètement ancrée dans la culture populaire nippone puisque même les AKB 48 se prennent à ce petit jeu.
D'influentes organisations mondiales et célèbres marques de haute-couture ont été jusqu'à réclamer le talent d' Araki.
Ainsi, pour promouvoir l'inscription de la ville d'Hirazuimi à son patrimoine mondial, l'U.N.E.S.CO a fait appel à Araki afin qu'il réalise une affiche placardée un peu partout au Japon.
J'ai eu la chance de m'en procurer une dans le quartier où je réside et de constater que l'affiche a été tirée en quantité limitées.
Pour être franc j'ai hésité plus d'une fois avant d'en franchir le seuil...
Les environs et l'escalier qui y mènent sont douteux, mais au moment de s'engouffrer dans le cercueil de Dio, c'est un autre monde que l'on pénètre.
J'ai été agréablement surpris (cela dit pas autant que le staff en me voyant débarquer) en découvrant une communauté de fans fort sympathique, bien loin des gueules cloutées que je m'imaginais
La déco n'est pas en reste : figurines, masque de pierre accroché au mur, menus fan-service...
Ce curieux refuge vaut certes le détour mais davantage pour l'ambiance que pour ce qu'on peut y consommer.
Si vous êtes suffisamment fan de la série et que vous êtes de passage au Japon, je vous invite à vous y rendre à l'adresse suivante : Tokyo-to, Nakano-ku, 5-55-6.
Comme juste retour des choses après toutes les références faites au monde de la mode, l'auteur a été sollicité par la célèbre marque Gucci avec laquelle il collaborera à deux reprises.
En 2011, le premier partenariat souhaité par Frida Giannini, la directrice de Gucci en personne, fut conclu pour promouvoir le 90ème anniversaire de la marque qui coïncidait avec les 30 ans de carrière de l'auteur.
La contribution de l'auteur prit la forme du one shot trivial "Rohan meets Gucci" publié dans le numéro d'octobre 2011 du magazine japonais de mode féminin "SPUR", avant de faire l'objet d'une édition à part entière.
Le raffinement avec lequel l'auteur est parvenu à transposer les réalisations de Gucci semble avoir convaincu la maison de haute-couture italienne qui renouvela le partenariat pour sa ligne de printemps 2013 en permettant à Araki d'exhiber 60 de ses travaux dans leur showroom à Florence.
Le showroom présentait plusieurs oeuvres dévoilées lors de sa précédente exposition tenue au Japon ainsi que celles résultant de l'alliance avec la marque.
Contrairement à la première collaboration restreinte au territoire japonais, celle-ci fut d'une portée mondiale laissant ainsi le talent de l'auteur se répandre aux quatre coins du globe.
Pour l'occasion, une seconde vie loin du milieu carcéral fut offerte à Jolyne qui posait comme mannequin dans toutes les vitrines de Gucci.
Parallèlement, le one shot "Jolyne Flys High with Gucci" lui fut consacré dans le numéro de février 2013 du magazine SPUR.
Notons que Frida Giannini, la mama di Gucci, ne tarit pas d'éloges à l'égard de l'auteur comme peut en témoigner cette interview traduite par mes soins :
"Ce fut sans l'ombre d'un doute l'une des plus agréables
collaborations sur laquelle j'ai pu travailler. Les personnages qu'Hirohiko Araki a conçu allient sensualité et charme qui donne vie d'une manière à la fois gracieuse et amusante à ma collection.
Je suis convaincue que beaucoup de gens s'arrêteront devant les vitrines pour être immergés dans le fabuleux monde de fantaisie qu'il a créé."
Avec cette publicité à grande échelle, la reconnaissance du talent d'Araki dans le milieu artistique lui a été définitivement acquise.
Quand bien même vous ne seriez pas une fashionista dans l'âme, il n'en reste pas moins très probable que vous ayez déjà été confronté à l'influence de JoJo's Bizarre Adventure car le domaine dans lequel Araki exerce avant tout son influence est naturellement celui du manga.
A ce titre, les shinigamis qui officient dans le manga Shaman King doivent beaucoup au concept des stands.
D'autres célèbres auteurs comme Yoshihiro Togashi ont également façonné leur univers en piochant des éléments de JoJo's Bizarre Adventure.
De la même manière, Hisoka fait référence à Dio en apparaissant souvent dans des accoutrements et postures insolites, des JoJo's Poses pour être plus exact.
Une autre supposition viendrait du concept du nen qui n'est pas sans rappeler celui du hamon.
L'adaptation de Hunter X Hunter en animé ne laissera plus aucun doute sur l'admiration que Yoshihiro Togashi porte au manga d'Araki :
dans la brève introduction définissant la quête des hunters, on peut apercevoir un masque de pierre incrustée d'une pierre précieuse.
Cet artefact est en réalité le masque de pierre serti de la pierre d'Aja tel qu'on peut le voir dans Battle Tendency.
Hayate no Gotoku est une autre série ayant remarquablement salué le travail de l'auteur.
En effet, dans son itération animée, le majordome en chef Seishirou Klaus parodie la fameuse scène où Dio porte pour la première fois le masque de pierre.
Dans un même élan, la série No-rin s'est réappropriée la scène du baiser volé par Dio à Erin et les acclamations de sa bande qui la surmontent.
Autre subtil emprunt et particulièrement drôle dans le contexte de No-rin : celui fait à la scène où Dio, sous la rage déferlante de Jonathan Joestar, se met à fondre en larmes.
Les clins d'oeil à JoJo's Bizarre Adventure y sont récurrents et couvrent d'ailleurs plusieurs parties de la série.
Certains d'entre eux ne se limitent qu'à de simples reprises de répliques mais d'autres sont en revanche plus revendiquées comme lorsque Kocho prend la pose de Muhammed Abdul tout en s'écriant "YES I AM !" quand ce n'est pas Jean-Pierre Polnareff qui vient prêter sa cambrure à Kei.
Cette liste de mangas faisant référence au poulain d'Araki est bien entendu non-exhaustive, mais si j'ai choisi ces exemples, en l'occurrence de purs shojos (NDA : manga ciblant un public féminin), c'est aussi pour montrer que la portée de JoJo's Bizarre Adventure est loin d'être des plus restreintes.
L'autre terrain d'élection à ces références n'est autre que celui du jeu-vidéo.
Guile en est l'un des exemples les plus représentatifs avec sa coiffure et son statut de soldat rappelant le général Stroheim.
Un peu plus tard, dans Street Fighter Zero, les développeurs de la firme d'Osaka créeront le personnage Rose sur la base des courbes et goûts vestimentaires de la belle Lisa Lisa.
Tout laisse penser que derrière ces timides clins d'oeil se cachait l'envie de s'attirer les faveurs de Araki qui n'y a vraisemblablement pas été insensible.
En effet, peu de temps après, celui-ci laissera à Capcom le soin de concevoir l'une des meilleures adaptations en jeu-vidéo de JoJo's Bizarre Adventure.
Ces deux clins d'oeil sans équivoques mis à part, il est également probable que l'experte en Taekwondo, Juri, ait été inspirée de Jolyne Kujo.
Pour les mensurations, je vous laisse prendre le risque de leurs demander directement...
Une autre licence bien moins connue de la firme, Cyberbots Full Metal Madness, a également servi à véhiculer l'admiration des développeurs pour l'oeuvre.
Ce versus-fighting sorti sur Sega Saturn et Playstation compte parmi ses combattants un personnage qui concentre plusieurs éléments faisant allusion à la série , à commencer par son prénom.
Santana Laurence, en plus de ressembler à Kars et d'être sappé comme Muhammed Abdul, est présenté sous par un artwork reproduisant avec exactitude la pose du cartomancien.
Plus tard, on apprendra que l'acteur qui a prêté sa voix à Santana sera chargé de doubler Jotaro dans le jeu sorti sur CPS-3.
Le rival de longue date de Street Fighter a lui aussi participé à ce phénomène de chara-design JoJoesque :
Dans King of Fighters, SNK donne très vite le change avec Benimaru.
A l'instar de Jean-Pierre Polnareff, sa coiffure défie les lois de la gravité.
L'un étant américain, l'autre français, il s'agit là des seules atomes crochus et suffisamment remarquables qu'ont les deux personnages (si on ne cherche pas la petite bête à s'attarder sur leurs débardeurs...).
On constatera d'une part, beaucoup de similitudes entre Sol Badguy et Jotaro Kujo, notamment au niveau de la démarche, d'autre part, la reprise du "WRYYYY" de Dio Brando émi par Robo-Ky et Justice pendant certaines de leurs attaques.
Outre la référence au célèbre Frank Zappa, sachez qu'il existe une théorie selon laquelle la tenue de Zappa serait le fruit d'un patchwork entre Vanilla Ice, Narrancia et Dio.
De plus, l'animation de sa démarche semble être celle de de Dio sur le jeu sorti sur CPS-3.
Dans un domaine un peu plus obscur du jeu-vidéo, celui de l'arcade, les joueurs les plus attentifs de Ninja Gaiden pourront surprendre la silhouette de Kars incrustée dans l'une des fresques du dernier stage.
Il existe de très nombreux portages du titre ambassadeur de Tecmo mais jusqu'à preuve du contraire, il s'agit de la seule version faisant référence à JoJo's Bizarre Adventure.
Côté RPG, on pourra relever l'exemple de Suikoden, plus précisément lorsque Teo reçoit des mains du roi l'épée "Pluck".
Vous comprendrez bien assez tôt la référence en poursuivant la lecture de Phantom Blood 😉
Dans Castlevania : Dawn of Sorrow et Portrait of Ruin, le boss Zephyr a été inspiré de Dio Brando.
Il dispose en effet de la faculté d'arrêter le temps et de lancer des pluies de couteaux mais surtout, laisse échapper un "Toki o tomare !" (NDA : "le temps s'arrête") dans la version japonaise du jeu.
La première était cousue sur la veste de Mondo Owada avant de figurer à nouveau sur une batte de base-ball.
Le personnage en question étant un bosozoku (NDA : un loubard) des plus traditionnelles - banane comprise - la référence à Diamond is Unbreakable et à son principal protagoniste est clairement indiquée.
Un autre clin d'oeil à la série est à relever lorsque Junko Enoshima prend la pose de Dio portant pour la première fois le masque de pierre.
De très appréciables "easter-eggs" -comme on les appelle dans le jargon - qui montrent bien que JoJo's Bizarre Adventure a transcendé le temps.
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Excellente cette seconde partie. Il m'a fallu 2 lecture tellement c'est dense et riche en infos.
Merci ! :D
C'est vrai que je n'aime pas les choses faites à moitié, d'où le contenu qui, je l'admets, peut effrayer :oops:
Cela dit, j'espère que la lecture était plus intéressante qu'éprouvante.
La dernière partie est terminée dans le fond, reste plus que la forme en l'occurence, des photos que je dois prendre et la mise en page à faire.
Mon precedent message parait un peu dramatique , c'etait completement interessant ya beaucoup de choses que je ne savais pas , pratiquement tout en fait vu que je decouvre l'univers JoJo. Et je suis admiratif du temps que t'as du passé dessus
Merci :D :D :D
@ Ninkusama : je l'ai pas pris comme tel t'inquiètes pas ^^
Tes commentaires font toujours plaisir à lire, merci !
@ Tibo : :wink:
C’est maintenant que je vois de plus près ce que c’est Jojo ou plutôt les aventures bizarre de jojo. En effet, c’est un grand et impressionnant exploit d’avoir réaliser un tel travail. Je t’encourage toujours d’aller plus loin. C’est vraiment une idée originale. Cet article m’a permis d’avoir beaucoup d’information sur Jojo.
Ca c'est du dossier!!
Y a tout ce qu'on veut savoir et même bien plus la dedans
Ca c’est du dossier :lol: !Excellente cette seconde partie.merci
JoJo no Kimyou na Bouken La série d'animation sont de déception, sont mieux l'OAV, je veux regarder ce film peut-être
Excellente cette seconde partie. Cet article m’a permis d’avoir beaucoup d’information sur Jojo. :-) :-)